aventuras y desventuras de un superviviente en la jungla madrileña, germanofilo y amante de la belleza,...preferiblemente femenina.

jueves, 8 de julio de 2010

EN La FINAL...

Porque no insistieron en el binomio Alonso-Torres. Quedó este en el banquillo y jugamos por fín con once. Torres es grande, pero es un jugador de velocidad y chispa sin ella mejor no, y sale de una lesión grave tardará dos o tres meses en recuperarla. Y saltó Silva, coño y parece estar en forma, en 5 minutos demostró que no perdió instinto ni gambeta, ¿porque no cuentan con él? volveriamos locos a cualquiera

aún así me da que estamos para ganar Holanda, solo hay que hacer lo que ayer, que Xavi juegue abajo, maneje el cotarro, que Alonso haga lo que quiera, lejos a ser posible y Torres pa la segunda parte.

Os dejo una crónica interesante que encontré por ahí y con la que estoy bastante de acuerdo.

"L'Espagne mérite-t-elle de disputer la finale de la Coupe du monde ? Y a-t-il matière à s'extasier devant le jeu pratiqué par la Roja dans cette 19e édition de la plus belle des compétitions du plus universel des sports.

1-0 contre le Portugal. Bof...

1-0 contre le Paraguay. Bof...

1-0 contre l'Allemagne. Bof...

Pas un match de classe, pas une seule démonstration exemplaire. Des attaquants habiles, comme Pedro, mais qui semblent désactiver leurs neurones à l'instant de conclure (en seconde période contre l'Allemagne, Pedro nous a rejoué la Blokhine 76 du Saint-Etienne-Kiev de l'époque). Un gardien, Casillas, qui ne bloque plus un seul ballon, même les faciles. Xavi Alonso qui joue les tondeuses à gazon. Un but chanceux en demi-finale de l'improbable Puyol. Ramos qui songe plus à sa permanente qu'a jouer... Bof, bof et re-bof...

Reste la chance. Et ça, la chance, l'Espagne n'en manque pas. Un penalty raté par le Paraguay, un autre non sifflé en sa défaveur contre l'Allemagne. Les Suisses qui se font battre par le Chili après avoir défait la Roja. Les Allemands fatigués et trop jeunes. Le parcours espagnol ressemble à celui de l'Italie 82 en moins bien.

cette équipe espagnole est celle qui, de toute l'histoire des Coupes du monde depuis 1974, parvient en finale en ayant inscrit le moins de buts durant son périple (sept en six matchs, dont cinq signés Villa). Pour une équipe censée pratiquer un football engageant, ouvert, créatif et tout ça, c'est faible non ?

Buen analisis, verdad? Un saludo
koba

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